Bizarre sensation que d'écrire des pensées sur un blog qui n'est lu par personne mais qui si je voulais pourrait être lu par tout le monde. C'est pas très clair mais je m'explique.
J'arrête pas de dire à mes amis, "ah ça y'est au fait, j'ai un blog" "ah oui super, tu me donnes l'adresse" et là je réponds "non j'en suis au début, y'a rien".
Alors c'est vrai qu'il n'y a rien et puis en fait, je jubile de pouvoir écrire sans savoir si je vais être lue. C'est un peu comme un phantasme (j'y vais fort dans les métaphores, mais je me lâche).
Bon le seul problème est que je ne me vois pas encore exister. Je suis encore à l'état d'embryon et mon blog n'a pas encore acouché sur la toile immense du net.
Vous imaginez lorsque je vais acouché. Whouaaaaa, ça va faire mal. Vanessa et ses états d'âme dont on se fout éperdument mais qui malgré tout aura une petite place à côté des grands de cette toile.
Bref, j'arrête mon délire de midinette (voir la note de ce jour, ça y'est on ne peut plus m'arrêter sur ce blog) et tout ça pour dire que je ne suis toujours pas référencée sur mon google préféré et que donc, je suis encore inexistante aux yeux du monde.
Ah ce fichu désir d'exister à tout prix. Il faut que j'approfondisse.
JE COULE SOUS LA TOILE MAIS JE SAIS NAGER (FACILE)
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