Je viens de récupérer sur cd des photos de maman jeune et ma soeur. J'avais envie de les voir sur mon blog car je les trouve belles et de plus, les années 60 sont une époque que j'aime beaucoup au niveau des tendances de la mode et du style (qui revient aujourd'hui). J'aimais aussi beaucoup les années 30.
Maman aurait pu poser pour la pub du comptoir des cottonniers avec ma soeur.
C'est mon petit moment nostalgie en voyant cette photo.
J'ai découvert, le cirque contemporain. Un ami nous a invité samedi soir pour voir le Circo Aereo & Les Objets Volants à la Villette (un endroit que j'adore). Bluffée par autant de justesse et de sensibilité, j'ai été à de nombreux moments parcourue de frissons. J'ai ri, été émue, triste, je suis passée par différentes phases d'émotions.
C'est un spectacle qui ressemble étrangement à une pièce de théâtre avec du jonglage, de l'humour décalé et de la musique style cabaret. La troupe était moitié finlandaise / française. La composition des artistes est explosive. Chacun y apporte sa touche personnelle. Il y a celui qui tire plus vers le comique burlesque, celui qui excelle en jonglage et la fille qui est sur l'affiche d'une incroyable maîtrise dans tout ce qui est acrobatique, danse et esthétisme. Il faut laisser parler son imaginaire et partir dans certains de leurs délirs. Un vrai voyage...
Cette pièce est recommandée pour les enfants à partir de 8 ans mais mon fils qui a seulement 5 ans a adoré. Il est vrai que je l'avais prévenu que ça n'était pas un cirque avec des animaux (quoi que à un moment il y a le spectacle de chevaux virtuels, excellent) mais son imaginaire a trouvé de quoi le satisfaire.
Chacun y va de son interpretation et il faut se laisser aller. Ce que je n'ai eu aucun mal à faire. J'aime ce genre de spectacle un peu décalé, juste ce qu'il faut.
J'ai tout aimé du début à la fin et je vais certainement suivre de près cette troupe.
Nous avons dîner ensuite et j'ai pu découvrir les artistes qui était à la table à côté. Ils étaient très agréables et d'une grande simplicité.
Merci à mon ami pour m'avoir invité, bravo à toutes les personnes qui ont travaillé sur cette pièce ainsi qu'a la personne qui a tout organisé (Pauline) et qui a été si sympa avec mon fils.
Sacré Charles IX roi de France des années 1500 qui serait à l'origine du poisson d'avril. C'est pas lui qui l'a inventé mais il a créé la polémique en modifiant le calendrier. Il aurait décidé de commencer le début de l'année en Janvier et non-plus en Avril. Comme toujours des petits marrants ont décidé de continuer à s'offrir des cadeaux comme à chaque début d'année, mais là, ils s'offraient de faux cadeaux.
Il y a également une histoire avec les pêcheurs, car c'est une période de reproduction chez les poissons et donc la pêche est interdite, alors certains s'amusaient à jeter des harengs dans l'eau en criant poissons d'avril (j'ai pas tout compris).
En fait c'est un jour qui me fout la trouille. Je ne crois personne, je doute de toutes les infos, c'est une journée épuisante où je ne tourne jamais le dos à personne et où je parle très peu. Je suis une traumatisée du poisson d'avril.
Je me souviens des grosses blagues limites qui m'ont été faites en me tapant dans le dos ensuite (car je devais faire une drôle de tête) et en criant "POISSONNNNS D'AVRILLLL". Plus d'une fois, j'ai eu envie d'en baffer un ou une en leur criant également "pauv'con d'AVRIL" (je sais c'est pas gentil car je le pensais tellement fort qu'ils ont bien dû comprendre).
Il y en a très peu qui m'attendrissent avec ce genre de blagues, il y a mon fils car il a 5 ans et à 5 ans on excuse tout et mon amoureux car lui aussi il a 5 ans, heu non, mais quand on rigole ensemble, on doit bien avoir 10 ans à nous deux et mes vrais amis (pas les faux, voir billet) n'y pensent pas.
J'aime pas trop toutes ces fausses traditions. Mais celle que je déteste encore plus, rendez-vous le 1er mai pour un post blog là-dessus.
Je ne finirais pas mon post blog par un poisson d'avril et comme dirait l'autre à bon entendeur, salut.
"C'est vous votre majesté" Cette phrase dans « Blanche Neige et les 7 nains » m’a toujours fascinée. Je ne sais pas pourquoi ? Que le pouvoir absolu passe par la beauté me paraissait incroyable. Moi qui suis moyenne plus, je savais déjà dès petite que je ne serais pas la plus belle car le pouvoir ne m’intéressait pas et toujours pas d’ailleurs.
La pauvre Blanche Neige obligée de fuire pour éviter toute rivalité avec cette femme qui veut le pouvoir de la beauté.
Les rapports entre les femmes sont souvent basées d’abord sur un rapport de séduction. On se jauge sans en avoir l’air. Discrètement d’un petit œil en coin ou pour certaines, directement des pieds à la tête.
La beauté est un ensemble symétrique qui répond à une norme basée sur nos critères. C’est la dissymétrie d’un élément qui nuit au reste ou au contraire, équilibre sur autre chose pour créer une harmonie.
L’image que vous véhiculez est une image forte qui peut vous êtes très favorable ou bien au contraire vous nuire. Les codes vestimentaires ont également un impact sur l’opinion des autres. J’ai fais l’expérience. Je suis allée chercher mon fils à l'école de façon très décontractée, jean, basket. Très peu maquillée. Les personnes étaient beaucoup moins « aimables » que lorsque j’y vais habillée plus chic avec un maquillage légèrement relevé. Je pense également que dans mon attitude, une différence existe. L’habit chic me donne peut-être plus d’allure et de ce fait je me tiens différemment. Tout est dans la façon de se tenir, de marcher, de bouger et dans le regard.
Moi, ce qui me frappe toujours, c’est dans les transports en commun, y’a de quoi devenir parano. Dès que vous montez dans le wagon, il y a au moins 10 paires de yeux fixés sur vous avec diverses intentions ou pensées. C’est très intéressant de voir les différents comportements. Il y a ceux qui n’ont besoin d’aucun regard pour se rassurer, d’autres qui au contraire sont à l’affût et feraient n’importe quoi pour se faire remarquer. J’aime cette mixture qui crée vulgairement « la populace » dont je fais partie.
On a certainement tous un style de personne qui nous agace, voir qui nous répugne. C’est purement éducatif. Moi par exemple, mon père ne portait et n’aimait pas les bijoux, alors c’est vrai qu’un homme qui porte des bijoux à part son alliance c’est pas vraiment à mon goût, mais respect pour ceux et celles qui aiment. Pour les filles, ce que je n’aime pas, c’est la vulgarité, même très légère, ça me rend mal à l’aise. J’ai plein de trucs comme ça phobiques que je déteste.
Etre la plus belle, c’est un travail à plein temps et moi je suis à temps partiel, alors pas possible.
Mais comment il fait ??? Il est toujours heureux (enfin, il en a l'air). Il m'attend toute la journée et dès que je passe la porte, il arrive en courant comme si il ne m'avait pas vu depuis 10 jours (j'adore me sentir indispensable).
Ses journées à lui (contrairement aux miennes) se suivent et se ressemblent.
Il n'est pas tenté par la mode, je le vois bien lorsqu'on va chez truffaut et que je lui cherche une nouvelle laisse, il s'en fiche royalement. En revanche, il y a un truc dont il a besoin et dont il ne se fiche pas du tout, c'est la bouffe. C'est une vraie petite poubelle. Il peut, vu sa petite taille, ingurgiter des quantités de nourritures sans les savourer. Exemple, la dernière fois, je lui donne un carré de chocolat (celui que je m'octroie lorsque je sens que je le mérite, soit un peu tous les jours) et là, d'un coup, il m'arrache à moitié le doigt et gloups, avale d'un trait ce délicieux et savoureux morceau de chocolat. Je suis certaine, qu'il n'a même pas eu le temps d'en sentir le goût parfumé du cacao. J'ai beau lui dire "savoure", y'a rien à faire.
Je pense qu'il ne me comprends pas toujours. La dernière fois, j'ai acheté un poulet périmé, il m'a vu prendre le poulet dans le frigo, regarder le poulet, émettre des sons (c'est quand je parle) et ensuite, ouvrir le vide ordure pour y glisser le poulet. Il ne l'a plus jamais revu et là, j'ai senti dans son regard comme de l'incompréhension et même un peu de tristesse. J'ai quand même faillit descendre récupérer le poulet dans le vide ordure mais ça ne servait à rien, là pour le coup, c'est les voisins qui m'auraient regardé avec incompréhension et tristesse.
Il n'aime pas quand je danse et ça m'énerve car je suis obligée de me cacher. Souvent, je mets ma musique et d'un seul coup, je pars dans un délire plus ou moins rationnel. A part, mon chien, personne ne me voit. Seulement mon chien, n'aime pas me voir danser, ou plutôt il croit que je joue et m'apporte tous ses jouets en me sautant dessus et en aboyant. Ca me coupe tout. Je finis par m'énerver après lui et éteindre la musique. Autre chose, la dernière fois, je voulais faire quelques séances de sports à la maison, hé bien, je n'ai pas compris sa logique, mais il était collé à moi et me lèchais (beurk j'aime pas trop) à chaque expirations d'abdos. J'ai donc arrêté également le sport.
J'aimerais l'emmener plus avec moi se prommener, mais, comme la cigarette, les chiens ne sont pas permis dans beaucoup d'endroits et vous vous faites tout de suite remarquer "oh comme il est mignon le petit chien, c'est quoi comme race ??" ou alors, ceux qui n'aiment pas les animaux et qui vous regardent en souriant bêtement lorsque vous leur parlez de votre chien (car vous ne voulez pas leur parler d'autre chose). En plus il est dominant peureux. Le mélange est un peu explosif lorsqu'il croise un chien qui fait deux fois sa taille. En revanche, il n'a aucun complexe, il peut s'attaquer à un berger allemand qui fait deux, voir trois fois sa taille. Et là j'adore aussi les maîtres qui vous disent "non non laissez les, le mien est gentil" oui le tien est gentil, mais pas le mien "non mais laissez les, je vous assure, c'est à cause de vous qu'il est agressif" bha voyons, c'est vrai qu'un labrador proportionnellement à un petit terrier a très peu de chance de se faire manger en une fraction de seconde. J'ai toujours eu des chiens et comme les humains, chacun a son caractère.
Les humains sont parfois très complexes, mais alors, des humains qui se disputent entre eux à cause de leur chien, ça c'est irrationnel.
Mon chien n'a pas de besoin mais moi j'ai besoin de lui. C'est sans retour.
Je me suis toujours posée cette question jusqu'à il y a quelques mois "comment reconnait-on ses vrais amis".
Je me souviens qu'à 8 ans, je devais avoir 10 amis, à 15 ans, 30 supers amis, à 18, plus qu'une amie et un ami (grosse crise d'ado), à 20 ans, rebelotte 50 ou 100 amis. En fait, tout le monde était mes amis, c'était ma période peace and love.
Et puis, j'ai rencontré mon amoureux et là tout d'un coup, j'avais de moins en moins d'amis. 40, 30, 20, 10 et 2. C'était pas important, je vivais d'amour et d'eau fraîche.
Puis petit à petit, un manque s'est installé en moi, j'ai donc repris mes vieilles habitudes, jusqu'à m'abrutir de soirées et de rencontres superficielles et stériles.
Au bout d'à peine deux mois, je me suis lassée et bizarrement ces personnes qui traversaient ma vie sans laisser d'empreintes émotionnelles m'auront apporté une sorte d'euphorie ponctuelle.
Je pense que comme en amour, on peut facilement se tromper et se laisser pièger dans une fausse amitié. Combien de fois, par un seul petit point commun, je me suis trouvée lié à une personne sans avoir réellement le sentiment d'être épanouie auprès de cette dernière.
Avoir un sentiment bizarre....
Avoir l'impression de passer une bonne journée et finalement regretter de s'être livrée ou le sentiment d'être jugée par derrière.
Beaucoup de personnes se raccrochent au passé et me disent "ça fait tellement longtemps que je la connais".
Finalement, je me rends compte que la fidélité pour la fidélité me gonfle, les personnes qui se contentent des autres par habitude m'ennuient et me font peur.
Malgré tout je respecte et il y a parfois des chanceux, qui par habitude arrivent à déclencher une réelle amitié.
Pour moi l'amitié est un sentiment d'abandon de soi. On peut se livrer sans avoir un retour de jugement. On peut rire, pleurer, crier, aimer, partager, fantasmer, bref se laisser aller à toutes sortes d'émotions.
Les faux amis, j'en ai et ils me le rendent bien. J'en ai même beaucoup. Je les aime beaucoup aussi mais pour d'autres raisons.
Je sais qu'en cas de coup dur ou de mini-déprime, ils ne seront jamais là ou au mieux ne trouveront jamais les bons mots pour m'apaiser.
Ils ne me font jamais rire mais se croient drôle et mes faux éclats de rire en sont une preuve (le théâtre ça aide). Ils ne me connaissent pas et me prennent pour une "midinette" (oups et si c'était vrai hein Levy) ou une gentille fifille.
Ils ramènent tout à l'argent sans s'en rendre compte.
Ils sentent une odeur que j'aime pas (chez moi tout fonctionne au nez). Ils ne parlent que des enfants (parfois ça aide). Ils vous parlent du prix d'achat de leur appart. Du prix de leur vacances. Ils comprennent pas votre humour et vous le leur.
Vous passez pour la fille qui n'a rien à dire limite associable (tout le contraire de ce que je suis).
Bref, je les aime beaucoup mes faux amis car peut-être que parmi eux se cache une perle comme celle que j'ai pu trouver sur mon chemin.
Moi qui fuis les rapports qui durent, je prends plaisir aujourd'hui à construire et à me perdre dans les méandres de l'amitié.
Parfois je la comprends mieux cettre phrase de vivons heureux, vivons cachés
Je pense qu'il y a des heures plus propices pour être heureuse. Par exemple, lorsque mon fils me réveille la nuit pour x raisons (même pour me dire qu'il m'aime), c'est bizarre mais j'ai plus de mal à être heureuse, même une minute.
Bref, le bonheur, ça n'attend pas et dès qu'une minute passe savourez-la. Si elle ne vous rend pas heureuse attendez la prochaine,une minute c'estvite passée.
On peut toujours attendre le bonheur mais je préfère savourer celui qui est en moi (non je ne suis pas pathétique mais heureuse. Hé oui, je suis dans ma minute de bonheur. J'arrête la mauvaise minute arrive)
Bizarre sensation que d'écrire des pensées sur un blog qui n'est lu par personne mais qui si je voulais pourrait être lu par tout le monde. C'est pas très clair mais je m'explique.
J'arrête pas de dire à mes amis, "ah ça y'est au fait, j'ai un blog" "ah oui super, tu me donnes l'adresse" et là je réponds "non j'en suis au début, y'a rien".
Alors c'est vrai qu'il n'y a rien et puis en fait, je jubile de pouvoir écrire sans savoir si je vais être lue. C'est un peu comme un phantasme (j'y vais fort dans les métaphores, mais je me lâche).
Bon le seul problème est que je ne me vois pas encore exister. Je suis encore à l'état d'embryon et mon blog n'a pas encore acouché sur la toile immense du net.
Vous imaginez lorsque je vais acouché. Whouaaaaa, ça va faire mal. Vanessa et ses états d'âme dont on se fout éperdument mais qui malgré tout aura une petite place à côté des grands de cette toile.
Bref, j'arrête mon délire de midinette (voir la note de ce jour, ça y'est on ne peut plus m'arrêter sur ce blog) et tout ça pour dire que je ne suis toujours pas référencée sur mon google préféré et que donc, je suis encore inexistante aux yeux du monde.
Ah ce fichu désir d'exister à tout prix. Il faut que j'approfondisse.
JE COULE SOUS LA TOILE MAIS JE SAIS NAGER (FACILE)
Mon fils qui est en dernière année de maternelle étudie le loup. Presque chaque soir, il me demande de lui raconter une histoire sur cette bête que je trouve plutôt déprimante.
Non mais c'est vrai, je me souviens toute petite après le père Noël, c'était le loup qui me menaçait à chaque fois que je ne voulait pas obéir "attention Vanessa, si tu n'écoutes pas, je vais le dire au loup" et moi terrorisée dans un coin de ma chambre, j'attendais avec la peur au ventre de voir apparaître enfin cette bête dans ma pièce de 9m². Je serrais mon stoupi (c'était un chien mais pas loup).
Moi je vois que les enfants ont vraiment évolué. Mon fils me rit au nez si je lui parle du loup en me disant "arrête maman, je sais bien que le loup ne peux pas rentrer dans la maison" (je vous dis aucune pression sur lui).
Il a eu un peu peur du hiboux qui se planquait dans la mezzanine au-dessus de notre lit (je faisais en même temps le HOU HOU planqué derrière la porte pour qu'il y croit). Mais aujourd'hui, pour lui, le loup, c'est un animal chaleureux qui n'a jamais vraiment réussi à attraper les 3 petits cochons, le chaperon rouge.... un malchanceux quoi... Il s'identifie presqu'à lui dans ses moments de désarrois.
J'ai bien essayé de lui faire croire alors que nous rentrions un peu tard le soir et que nous traversions un parc obscur à la présence de Douschka, la louve blanche aux yeux jaunes. Nous marchions quand tout d'un coup, j'ai vu deux yeux verts (pas jaunes) et là je lui ai dit "regarde Douschka est là" (j'y croyais presqu'un peu). Hé bien, il a eu un doute d'hésitation tout de même, mais lorsque la porte du parking s'est soulevée, il a compris que les deux yeux verts étaient en fait les lumières du faisceau électronique de la porte.
Petite confidence, j'ai dû reprendre le même chemin un jour toute seule le soir tard, hé bien comme une idiote, j'ai repensé à Douschka et je me suis mise à courir car là je vous assure, il y avait deux yeux verts mais ceux là, ils me regardaient vraiment.
Je ne sais pas si Douschka existe vraiment mais moi je sais que j'ai PEUR DU LOUP
Le constat est dur et j’ai encore du mal à réaliser que je suis passée de l’autre côté de la 4è dimension, celle des midinettes.
En fait, je suis devenue accro aux séries télévisées et en l’occurrence de « Grey’s Anatomy ». J’ai pourtant tenté inconsciemment de résister et puis mon second moi, celui que je ne maîtrise pas à lâché prise.
Comment c’est arrivé :
Ma Wonder amie m’a prêté toutes les séries et je m’en suis goinfrée, telle une boulimique.
C’est terrible, vous vous dites, « bon, j’en regarde un dernier » mais non ça n’est pas possible, car ils font tout pour que vous ne décrochiez pas. J’ai quand même annulé et rater un rendez-vous avec cette histoire.
Toutes mes références médicales actuelles proviennent de cette série pour midinette. Exemple : Un très bon ami a rencontré une jeune femme qui travaille comme urgentiste et je n’ai rien trouvé de mieux que lui dire toute excitée « Noooonnnn c’est pas vraiiiiii, comme dans Grey’s Anatomy ??? » Heureusement, il ne connaissait pas et mon amoureux a fait un petit sourire en coin qui voulait dire « ne cherche pas à savoir, ça pourrait être dangereux». Non mais vous vous rendez compte, j’ai failli perdre un ami.
Après le dernier épisode, je me suis retrouvée avec mon éternel morceau de mouchoir humide près de moi, les yeux explosés par le stress et les larmes et le pire, un manque et un grand vide en mois. Il m’a bien fallut toute la soirée pour comprendre et analyser mon comportement. Je suis une Midinette
Je tente de me désintoxiquer mais comme on m’a offert les cd de musiques pour mon anniversaire, cela reste encore un peu dur.
Ma wonder amie m’a proposé de me prêter les épisodes de la saison 3 en Anglais. C’est elle qui m’a rendu accro à cette série. J’aurais dû me méfier car j’ai bien sentie que pour elle aussi, un comportement différent émanait d’elle. Il n’y avait pas un jour sans faire référence à Dereck *
Conclusion :
CETTE SERIE EST DANGEREUSE ET DOIT ËTRE CONSOMMEE AVEC MODERATION
*(Dereck, c’est le playboy du film, mais à qui il donne un rôle de gentil. Il a les yeux constamment larmoyants qui attendriraient n’importe quelle midinette ou midinet. Bref, j’ai lutté au début et puis après j’ai lâché prise)
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